
« Au bout du chemin », épilogue : «L'enfant retrouvé ».
L'enfant retrouvé.
« Un enfant s'avance, noir comme une orange, dans le soleil ; il m'aborde, me touche me à faire crier, car en lui, je reconnais l'enfant d'autrefois que je fus, qui vit toujours en moi comme un ver dans l'aubier, me dévore, me brûle. »
Frédéric-Jacques Temple, « Les eaux mortes », 1975.
En revenant de la Grande Lagüe, Paul fit lire à Maïté le poème « Dimenye » de Ludovic Puyau....
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