21 septembre 2012
Une lecture avec Carole et Christine, sur des visuels de Marie-Lydie Joffre, le vendredi 5 octobre

28 mai 2012
Profils stochastiques, poème et photos par Christine Jouhaud Mille
Toutes ces taches sur les trottoirs.Tous ces profils stochastiques.J'interprète leur ébauche.Ils sont nés d’un hommequi fait eausous la luminescente lune.Le faiseur ne sait pasque je vais découvrir plus tard,en pleine lumièresa création.
Alors cette empreinte sur le béton une flaque séchée large et... [Lire la suite]
06 mai 2012
La musique et la plume, 6 mai: les textes
La musique et la plume : rencontre poétique
Evasion musicale du 6 mai 2012 . Au piano, Orélie LOUVET
LES TEXTES, dans l'orde de leur lecture par leurs auteurs
(excepté quand ceux-ci n'ont pas souhaité les faire paraitre ici)
Sur ALBENIZ : Granada
Hisronü (Françoise Martin Faure)
Posée sur l'argent bleuté
Lisse, transparent
Suspendue au temps
Une barque
Verte, bleue, blanche,... [Lire la suite]
29 avril 2012
Saisons duelles, par Christine Jouhaud Mille
Saisons duelles
0_Audio_2_strophes
D’un héritage ils possédèrent dix ares de terrain
Ses pieds de petite enfant solitaire les arpentèrent
Et elle Le découvrit où Il se dressait, au fond du jardin
Ainsi, advint le prélude de sa tendre jeunesse…
Elle Le retrouvait comme un ami bienveillant
Pour lui murmurer ses chagrins noyés de larmes.
Elle appuyait alors sa joue sensible contre son tronc
Et liait son cœur rebelle aux bruissements des feuilles.
Adolescente son visage devint disgracieux,
... [Lire la suite]
16 août 2011
Encres on tape, montage de Valérie, poème de Carole, visuels M.L. Joffre, lecture Carole et Chris
Valérie Maffre (Novakéi) a fait ce montage vidéo à partir d'un des poèmes que j'ai lu, avec Christine Jouhaud Mille, à l'émission "Rimbaldies on tape", et des visuels de Marie-Lydie Joffre qui m'avaient inspirée. C'est un grand plaisir pour moi de vous le présenter.
Merci Valérie ! Carole
Encres On Tape
15 janvier 2010
Retour sur la case 58, par Christine Jouhaud Mille
Désorientée par les soubresauts de ma voiture je me gare sur le bas côté et constate irritée le clignotement de la jauge ; le cadran sur le tableau de bord affiche vingt deux heures. Depuis des kilomètres sur la route sillonnant dans la forêt, je n’ai croisé aucun véhicule et dans le masque noir des alentours j’aperçois entre les branches une lueur. Je fais une tentative avec mon mobile, mais aucun réseau à capter, j’entreprends alors de longer par ce temps glacial le bois de sapin, jusqu’à trouver l’entrée d’un chemin... [Lire la suite]
17 octobre 2009
Fossile dans la gangue de sable, par Christine Jouhaud Mille
Fossile dans la gangue de sable
Ma caisse est prisonnière,
Affleurent ma table d'harmonie
Mon manche aux barrettes encore intactes
Et retenues par mes clefs, mes six cordes tendues
« Il est venu le temps des cathédrales »
Où il m’a donné l’obole de quelques jours
Pour mon chant religieux,
L’amour dans son regard,
Le troubadour
Il fait une pause dans sa vie
Il oublie la voiture, la ville
Pieds nus il m’emporte
Vers un ailleurs…
Dans la Jamaïque de Bob Marley
... [Lire la suite]
09 mai 2008
les ruines circulaires, par Christine Jouhaud Mille
Plusieurs titres sélectionnés:L’aube est déjà griseLes ruines circulairesUn homme qui est fatiguéLes morts se taisent***********Les morts se taisentDans le cimetière voisinMa fenêtre donne sur les ruines circulairesUn homme fatigué s’assoit sur une grosse pierre.Les morts se taisentDans le cimetière voisinJe siffle le refrain d’une romanceL’homme assis sur la grosse pierre lève la tête.Des branches craquent dans les ruines circulairesLes os des squelettes grincentLes morts se taisentDans le cimetière voisinEt l’homme assis reprend mon... [Lire la suite]
31 mars 2008
D'après Edward Hopper - Soleil du matin, par Christine Jouhaud Mille

29 novembre 2007
Piano et casades vagabondent, par Christine Jouhaud Mille
Nous sommes peu avant les fêtes de fin d’année. Excitation, appels, cadeaux de Noël, organisation du repas familial… Hiver dans le Sud, façon palmiers.
Carole
Le temps s’est arrêté derrière la grande baie vitrée au dernier étage du Polygone.
Pour garder le souvenir du moment, j’exerce mon œil caméra et ma mémoire bobine à enregistrer le film qui se déroule sous mes pieds.
J’ai rajouté en montage sonore des musiques de pianos et cascades, autour de moi les gens s’agitent, je ne les entends pas, aidé en cela par... [Lire la suite]